brise

Publié le par L'Hocine M.Anis

Brise

                                             Hallucinante, c'est  ce que je préfère

                                              Alléchante, du début elle se diffère

                                              Dormantes belle aux bois               

                                             Justicière en tous ses choix

                                             Elégante, on ne peut qu'être fier

                                             Rare, de posséder un jour son cœur

 

Etant sous un arbre, sous un air de printemps

Tu n'as été qu'une brise que m'a apportée un vent

Venant tout droit du plus beaux des océans

Ou le cœur ne peut être qu'espérant

 

Même le plus grand des vaillants

Même celui qui se dit fort et se prétend

Etre Puissant, se trouveraient tous impuissants

Et voudraient tous faire durer ces instants

 

Peut on voir les étoiles quand le soleil apparaît

Et peut on l'oublier quand il disparaît

Que tu sois absente toute une nuit, même si tu t'éclipsais

Dés l'aube tu couvrirais ma vie et mon cœur tu réchaufferais

 

Je ne suis qu'un voyageur dans une locomotive

Dont on a déjà tracer toutes les dérives

Je te vois par cette vitre, une ambiance passive

Qui précède, dés ton départ, une tempête destructive

 

Je ne serais qu'un admirant parmi tant d'autres

Qui ne veille qu'aller a votre rencontre

Pourtant mon cœur me dément et se prend pour mon apôtre

Il me conseille espoir et s'apprête a devenir votre

 

Gente dame qui m'a humblement surpris

Passagère comme le vent vous m'avez flétri

Dans mes rêves je vous vois et vous décris

Espérant juste qu'un destin auquel je crois me sourit

 

C'est la que paix et bonheur embrasseront ma vie

L'amour me domptera, il m'aurait sûrement reconstruit

Ma vie s'agira d'un tout autre paradis

Puisqu'on me donnera le plus beau cadeau qu'on n'eut jamais chérit

 

J'espère...j'écris toujours ce que l'espoir me dit

Il me parle de toi et me laisse indécis

Dois je en résulter que je suis déjà a la fin de notre récit

Et proclamer avec sourire au lèvres : c'est écrit

 

Passagère comme le vent

Soleil de mon printemps

Pour te voir durer je prie tant

Même si tu pars loin, je demeurerais souriant

 

 

Ahmed Abd el Oualid Kassouri

Publié dans Poésie

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