le champ d'oliviers
Le champ d’oliviers (extrait)
Son cœur meurtri, rongé par l’amour d’une femme, restait ouvert et palpitant, avide toujours de tendresse ; et peu à peu ; à force de prier, de vivre en ermite avec des habitudes de piété grandissantes, de s’abandonner à cette communication secrète des âmes dévotes avec le Sauveur qui console et attire les misérables, l’amour mystique de Dieu entra en lui et vainquit l’autre.
Guy De MAUPASSANT